Laocoon et ses fils, 1er s. av. JC, 240 cm avec socle, Musée du Vatican

Sculpture qui a marqué certains artistes.
Sujet mythologique grec, qui représente un prêtre Troyen, nommé Laocoon, il est nu et musclé, avec ses fils qui sont attaqués par des serpents marins envoyés par les dieux.
Attention : il faut analyser la sculpture et non la photographie de la sculpture (effets de lumière pas nécessairement voulus par l’artiste).

I IMPRESSIONS GÉNÉRALES

Pas de description mais des ressentis, pour s’aider on peut commencer la phrase par « je me sens … » ou « L’ambiance est… »

Terrorisé, ambiance effrayante, compatissant, petit,

Déchaîné (= non, c’est de la description) face à quelqu’un de déchaîné, je me sens terrorisé, compatissant
Douleur,
Déstabilisé, Insécurisé, agressé, menacé, angoissé,
Étranglé (=non, description) face à quelqu’un qui se fait étranglé, je me sens oppressé, impuissant,
Confiant,
Impressionné,
Vulnérable,
Surpris.

II PROCÉDÉS TECHNIQUES

Ligne de direction

1 LE VOLUME

Définir un contenant qui envelopperait l’œuvre au plus près. Le plein / le vide.

La scène se place sur un socle qui repose lui-même sur un autre grand socle dont on ne tiendra pas compte.
Volume : Pyramide ? Non. Cube ? Non.
Il faut que la sculpture touche au plus près les limites du volume. Y a-t-il deux volumes ? Non, car tous les éléments tiennent ensemble.
On n’est pas dans une construction symétrique, équilibrée. Il y a plus de matière d’un côté, c’est « rempli » et de l’autre, il y a des espaces vides. Les trois personnages tiennent dans une forme rectangulaire, mais il y a des formes sur le dessus qui sortent d’une forme géométrique conventionnelle. Dans ce cas, dessiner sommairement la forme qui englobe la sculpture.
Plusieurs angles de vue nous font tourner autour de la sculpture pour pouvoir confirmer le volume global de l’œuvre.
On repère un parallélépipède surmonté d’un autre volume indéterminé.
Pleins et vides
Difficile de déterminer s’il y a plus de plein ou plus de vides. C’est voulu. Nous sommes dans la période « baroque » de l’art grec : c’est la période hellénistique.
Il y a un mix entre le vide et le plein. Il n’y a pas d’équilibre entre le vide et le plein. Faire un petit schéma. À gauche, il y a trois socles, ancrage dans le sol et du plein ; à droite, il y a des vides entre les éléments. L’artiste exploite les vides.

Une des grandes questions que les sculpteurs se posent : comment les limites de la sculpture vont se confronter à l’espace ? Ces limites vont mettre en évidence la sculpture. Ici, (à gauche) la limite est assez claire, dans une autre partie, à droite, la limite est mal perçue.

2 LIGNES DE DIRECTION

Comment nos yeux voyagent-ils dans la sculpture ? Une ligne qui va de la jambe, la courbe du torse, puis vers l’épaule et la tête. C’est un contrapposto. La ligne est sinueuse, en « S », c’est plus qu’une oblique. C’est un des premiers contrapposto représentés ici sur le Laocoon. Il y a d’autres lignes en contrapposto dans les personnages de cette sculpture. Contrapposto : Les S sont en général symétriques, équilibrés, ici les S sont tendus, étirés. C’est caractéristique de l’art hellénistique. C’est ce que Michel Ange va reprendre à la fin de la Renaissance. Mais il y a d’autres lignes : le socle, qui est marqué par une horizontale. Les lignes des serpents qui amènent des courbes dynamiques, tortueuses.

Quand il y a beaucoup de lignes et qu’elles sont différentes, il faut les hiérarchiser. Les courbes des contrapposto ne fonctionnent pas de la même manière que celles des serpents. Les premières lignes sont les contrapposto, puis les courbes des serpents, et enfin les horizontales (le socle qui se compose de 3 niveaux).

Quelles sont leurs fonctions ? Les contrapposto donnent de la tension, le corps du Laocoon est hyper tendu ; les courbes des serpents sont « insaisissables », donnent de la vitesse, une dynamique puissante, rapide, qui rassemble le tout, avec une énergie très puissante (= idée de mouvement rapide, énergique, intenable, fort).
L’horizontale donne de la stabilité.
Les quelques verticales sont quasi insignifiantes et ne participent pas à la structure de la sculpture.
État de surface

3 ETAT DE SURFACE

Si on passe la main, c’est lisse, poli. Il y a des différences selon les endroits que l’on touche : des creux, des reliefs (chevelure, barbe, musculature).

4 LA LUMIERE

En 3D il y a trois aspects techniques de la lumière:

  • La lumière est absorbée : c’est quand on voit les formes et les différents états de la matières utilisée par l’artiste.
  • La lumière est réfléchie : c’est quand la lumière est renvoyée pour diverses raisons; trop de lumière sur une surface polie, blanche, ou autres qui nous prive de la vision exacte de cette surface.
  • La lumière fait des jeux d’ombre et de lumière : c’est quand la lumière est absorbée et parfois se perd dans les plis et replis de la surface. Il est important de toujours être sur qu’on analyse la lumière sur l’œuvre choisie et non pas la lumière choisie par le photographe. A ne pas confondre avec les ombres portées formées par les conditions d’exposition de l’œuvre. L’artiste ne les maîtrise pas. A notre époque, les artistes vont avoir des exigences en cette matière.

Comment réagit la lumière quand elle percute la surface ? 3 possibilités :
La lumière absorbée qui permet de percevoir la musculature du corps, la douceur de la cuisse, le socle qui est bien présent et visible. La lumière reste sur la surface. L’absorption met en évidence la veine de la cuisse, l’articulation du genou, le muscle de la fesse, etc. partout il y a absorption .

L’effet ombre et lumière met en évidence le jeu des poils de la barbe, des cheveux, les zones entre les corps, les plis des vêtements, la zone d’ombre s’oppose à la zone de lumière absorbée.

L’effet de reflet n’apparait pas.

5 LA COULEUR

EN 3D la couleur est souvent celle du matériau utilisé, mais, dans l’art contemporain les artistes ont introduit la couleur on peut alors utiliser le procédés de la 2D

La matière est du marbre blanc. On ne dit rien d’autre, la couleur est la couleur de la matière. Si cela avait été du marbre vert, il aurait fallu le citer. À l’époque, les sculptures étaient peintes.

6 L’ENVIRONNEMENT

Si je change la sculpture de place, fonctionne-t-elle différemment ? L’espace autour a-t-il de l’impact sur la compréhension de la sculpture.
Ici, non. Qu’on la déplace où l’on veut, elle provoquera la même impression, la même émotion.

III LES EFFETS RECHERCHES

Construction d’un effet recherché

LE VOLUME

  • Surprise par le volume inhabituel ni pyramidal, ni parallélépipède rectangle qui me perd par rapport aux références que j’ai.
    Déstabilisée par les vides absents à gauche et abondants à droite, ce qui provoque un déséquilibre, je suis en train de vaciller.

LA, LES LIGNES

  • Je me sens effrayé par ces lignes de directions tortueuses, en S, en courbes, qui me rappellent les pires cauchemars de mon enfance peuplés de serpents et de monstres.
    Empathique face à ce contrapposto du prêtre mobilisant le mouvement frénétique de son corps et qui me fait partager sa souffrance.
    NB : Au plus on fait référence avec son propre ressenti, au plus on entre en relation avec l’œuvre.

ETAT DE SURFACE

  • Heureuse par l’état de surface lisse de la cuisse du Laocoon, qui me fait penser à un chat que je caresse et qui me procure beaucoup de bonheur.

LA LUMIERE

  • Excitée par la lumière absorbée révélant ce corps musclé qui provoque en moi un désir de rencontre.

LA COULEUR

  • Curieuse par l’unique couleur blanche du marbre je m’interroge sur les vraies couleurs de la sculpture grecque à l’époque.
  • Impressionnée par la couleur blanche du marbre amplifiant l’instant dramatique vécu par ces trois hommes entourés de ces serpents qui les tend vers une mort certaine ?

L’ENVIRONNEMENT

comme il n’a pas d’impact sur l’œuvre, on ne le traite pas.

NB :

  • Résumer les caractéristiques de l’effet recherché et étoffer l’explication de son ressenti.
  • Si on éprouve des difficultés pour écrire la phrase, réfléchir à l’effet recherché, revoir les impressions générales et trouver celle qui lui convient, et établir le lien.
  •  On peut modifier les mots des impressions générales tout au long de l’analyse, qui évolue par rapport à l’observation qu’on fait.
  • Attention, quand il y a absence d’un procédé technique (sauf l’environnement), il faut aussi en parler car l’absence d’un procédé technique provoque aussi un effet recherché.

IV LE CONTEXTE CULTUREL

Dans ce paragraphe on rassemblera des informations nécessaires à la compréhension de l’œuvre.

Le contexte historique, sociologique, économique, l’artiste, l’œuvre

Parler de l’artiste, du mouvement auquel il appartient, de ses influences qui sont avérées pour l’œuvre sur laquelle on travaille, des informations sur l’œuvre, des éléments d’ordre historique, politique, sociologique, culturels, religieux qui ont eu un impact sur l’œuvre.

La sculpture du Laocoon date du 1er siècle avant JC, est conservée au Musée du Vatican à Rome, mesure 240cm de hauteur, socle compris et a été découverte en 1506 dans les jardins du Vatican. On considère que cette une sculpture grecque, même si elle a été découverte à Rome.

Sujet mythologique, le Laocoon est un prêtre grec, venu secourir ses fils attaqués par des serpents envoyés par les dieux. NB : Il n’est pas nécessaire de détailler toute l’histoire relatée par la mythologie.

HA : Remarque : Je profite de cette analyse esthétique pour vous donner un cours d’histoire de l’art sur la sculpture antique, mais vous n’êtes pas amenés à faire ce genre de choses lors de votre analyse esthétique.

Beaucoup de sculptures grecques ont été copiées par les romains. Comment déterminer la provenance de ces œuvres ? Il y a plusieurs techniques utilisées par les historiens et archéologues.
Les méthodes de datation en lien avec le milieu de la découverte : ce que l’on fait aujourd’hui, on s’intéresse à la terre qu’il y a autour, stratification, dessin, topographie, des techniques différentes qui vont intervenir pour trouver le moment où l’objet a été posé là.
Le carbone 14 détermine la date de l’objet, on analyse une partie de l’objet pour le traiter (sur la pierre, ça ne fonctionne pas).
L’historique des découvertes : on va s’informer sur comment l’œuvre a été découverte, par qui, quand, dans quelles circonstances ? Histoire du maintien de l’objet jusqu’à aujourd’hui.
Des marques, des inscriptions sur les œuvres peuvent donner des indications sur l’artiste ou la provenance. Pendant longtemps, les artistes ne signaient pas leurs œuvres, il y a beaucoup plus de sculptures non signées que signées.
Des sources écrites, certaines œuvres tellement impressionnantes ont été mentionnées dans des écrits, mais il faut qu’elles soient assez majeures pour figurer dans les textes d’auteurs reconnus. Ces éléments permettent de faire des connexions entre les œuvres et les artistes, mais ce n’est pas le cas pour une majorité des productions.
L’analyse stylistique : comparaison entre des œuvres en se basant sur des caractères techniques et stylistiques qui vont permettre de reconnaître à quelle époque elles ont été réalisées, reconnaître le style d’un artiste. C’est ce qui est le plus souvent utilisé.
Les méthodes de technologie actuelles : spectroscopie, imagerie par rayons X, etc. Tout ce que l’on peut faire en laboratoire, l’élaboration de l’œuvre, qui va nous donner des indicateurs, utilisé plus en peinture qu’en sculpture. Analyse de la matière (peinture), de la toile utilisée à l’époque.

Le Laocoon est une œuvre essentielle car elle aura un impact important sur les artistes ultérieurs, notamment Michel-Ange. Il est à Rome quand on la découvre, et il va introduire un aspect dramatique dans ses œuvres dès qu’il aura vu le Laocoon.
L’art de la Renaissance est un art qui va exercer une sorte de dictat dans la formulation de l’art, et ce, jusqu’à encore aujourd’hui. Dans la formulation de l’art, la recherche d’équilibre, de l’idéalisation de la beauté, de l’art « bien fait », de manière réaliste, tout cela vient de la Renaissance, elle-même influencée par l’Antiquité.

L’Antiquité grecque, en sculpture contient trois styles : Le style archaïque, le style classique, la période hellénistique.

Le style archaïque : -700 à -480.

Un Kouros, -590, conservé au Metropolitan à New York

une représentation humaine, sculpture réaliste, homme ou jeune homme nu, des proportions relativement correctes. La position est rigide, figée, une tension dans les muscles, apparents pour certains d’entre eux, les genoux, les poings serrés contre les cuisses, les bras tendus, un pas en avant. Les cheveux, les yeux fermés, un sourire peu expressif.

Un homme reconnaissable mais peu réaliste, traces de couleurs, il y avait de la polychromie. C’est du marbre blanc, qui était peint. Les cheveux, ensemble de « bouclettes », bien rangées, organisées, qui nous fait comprendre que ce sont des cheveux, mais ce n’est pas réaliste.

Une Koré (Kouros au féminin). Elle est habillée. Aspect similaire, rigidité, volume très présent, on est dans le plein. Les statues ne sont pas nécessairement faite d’une pièce. Il y a des éléments ajoutés avec des systèmes d’accroche. Le visage est figé, un léger sourire (sourire archaïque). La chevelure en bouclettes bien rangées. Traces de polychromies sur les cheveux, les vêtements. Pour les yeux, il y avait insertion de pierres pour donner de la vie, rendre la sculpture plus vivante. Les pièces ajoutées (bras) ont souvent été cassées, elles dépassent le volume et sont fragilisées.

La période classique : -480 à 323.
Période hyper prospère à Athènes, qui génère des commandes importantes et les sculptures vont marquer un mouvement plus réaliste.
Le style est différent : la musculature est bien développée, l’artiste recherche l’idéal, une forme d’idéalisation des corps, qui deviendra l’idéal classique de la beauté, des proportions idéales, ce qui influencera la Renaissance jusqu’à nos jours.


Le Doryphore (pas l’insecte…), le lanceur de lances, l’artiste est nommé, reconnu, c’est Polyclète. -430. Des copies romaines de cette œuvre foisonnent. L’original grec devait être en bronze, il a disparu ; le bronze a dû être récupéré (fondu). Il y a contropposto : léger S, un pied en avant, la tête tournée sur le côté, création d’un sentiment de mouvement qui amplifie le côté vivant de la sculpture. On retrouvera ces caractéristiques dans la peinture renaissante.
Polyclète a écrit un canôn, où il établit les canons de beauté qui vont perdurer pendant des siècles. La chevelure est composée de boucles, ce qui plus réaliste. Les lèvres pulpeuses, les yeux, double ligne pour marquer la paupière. Il va représenter l’idéal de l’éphèbe masculin.

Les cariatides, équivalent féminins, sculptures de corps de femmes, la jambe en avant, elles ont une fonction « porteuses », elles remplacent les colonnes sur les monuments d’architecture (ex : Le Parthénon).

Le Discobole, lanceur de disque, -450, l’artiste se nomme Myron.

Même formule, proposition de corps idéalisé. Les proportions commencent à ce moment-là à être calculées de manière mathématique. Grande connaissance de l’anatomie humaine. Original en bronze, ici, une copie romaine. Toutes ces copies romaines vont émerger partout dans les jardins des villas. À la Renaissance, pour réaliser de nouveaux jardins, on creuse et c’est là que l’on découvre toutes ces œuvres.

La période hellénistique : -323 jusque 31.
Changement dans la représentation visuelle des sculptures, où l’accent va être mis sur l’émotion. Le Laocoon est une œuvre hellénistique. Il y a de l’émotion, de la tension.

Une des plus connues, c’est la Victoire de Samothrace, datée entre -210 et -160.

En 2 parties : en dessous le bateau surmontée de la femme ailée. Émotion dans les poses, dans l’intensité des mouvements des drapés, les tissus ne sont plus raides, on sent un élan, un mouvement. Avec le discobole, on sent un mouvement mais il est arrêté. Ici, c’est comme si la femme avançait, les ailes sont déployées, le tumulte des tissus, comme si le vent les soulevait. Il y a effet de drapé mouillé, on sent les détails du corps sous le tissu (le nombril), c’est un travail exceptionnel. Des traces de polychromie. Elle représente la déesse de la Victoire, Niké. Elle est en train de descendre du ciel, pour annoncer une grande victoire maritime, ou elle est dédiée aux grands dieux afin de les honorer. Les historiens tentent toujours de la démasquer.
Elle a été trouvée sur l’île de Samothrace en 1863 ; il a été difficile de savoir comment assembler les morceaux (23 blocs – 28 tonnes). Les pièces sont rapportées, scellées avec des goujons métalliques. Il n’y a pas d’inscription, pas d’écrits pour l’identifier.
Elle fait l’objet encore aujourd’hui de fouilles, restaurations et reconstitutions.

Revenons au Laocoon.

V LE MESSAGE 

Le sujet :

Sujet mythologique, un père et ses deux fils, attaqués par des serpents envoyés par les dieux. Beaucoup de souffrance, une scène dramatique.

Les procédés techniques importants :

En 3D il y en a 6.

Le mouvement contrapposto, les courbes, l’oblique.
Le vide et le plein, mettant en évidence la présence des corps.
La blancheur de la matière. (La lumière).
L’état de surface dont l’effet lisse, précis qui marque l’effet dramatique.
Il y a 4 procédés techniques importants sur les 5.

Les éléments de contexte culturel importants:

Le contexte historique, sociologique, économique :

Scène mythologique (fondamentale en Grèce, la mythologie permet de construire une culture, une société à travers des textes, des messages d’attitudes à avoir ou à ne pas avoir).
Période hellénistique : exprimer une émotion.

LE MESSAGE

Assembler les éléments retenus et en faire un texte.

L’artiste nous montre ce qu’il advient aux humains lorsque les dieux leur envoient leur colère. Ils ne sont plus alors que souffrance, victimes de la cruauté divine, ils ont beau se tordre de douleur, aucune miséricorde ne leur sera accordée. Ils leur expriment la souffrance humaine, une souffrance qui nous dépasse et nous terrasse.
Les procédés techniques utilisés élèvent la souffrance et la douleur au statut de vertu.
Tous les procédés techniques concourent à illustrer la douleur, la tension de ce moment de survie ultime face à des serpents envoyés par des dieux et cela questionne sur le destin de l’humanité. Quel est le destin des hommes face à la puissance des dieux ? La puissance des dieux est ultime et qu’est-ce que l’homme peut faire face à tout ça ? Se débattre.
Laocoon a averti les Troyens que le Cheval de Troie est occupé, c’est une trahison. A-t-il été puni ?

Chacun interprète l’œuvre selon ses connaissances, son vécu, sa culture. On est dans l’ordre de l’hypothèse.